Potiron, moi j’aime pas le potiron et puis c’est tout. J’aime pourtant bien la courgette, et j’adore les cornichons. Mais citrouilles et potirons sont à écarter de mes papilles gustatives. Si j’osais dire, gerbitatoires que sont ces deux fruits. Transformés en Jack-o'-lantern passe encore mais ne me les proposez pas en soupe ni en tarte. Beurk !

Pourquoi aborder le sujet en ce mois de juillet me direz vous ? Vous avez vu le mois de juillet que nous avons ? un véritable temps d’halloween… mais ce n’est pas la raison.

Vous vous que je vous dise ? et bien, et ce n’est pas extraordinaire, ...pour terminer mon repas ce midi j’ai avalé une de ces petites nouveautés que l’on trouve dans les rayons frais de nos supermarchés. Vous savez ces petites bouteilles de 200g qui mélangent fruits et légumes et qui permettent (d’après la pub) d’équilibrer les repas des jeunes actifs (plus très jeune l’actif d’ailleurs, ni très actif non plus)…. Et bien je me suis trompé de parfum, ce midi c’était « banane potiron kiwi » et ce n’est vraiment pas bon … quand je pense qu’il m’en reste encore 2 à avaler… La prochaine fois je regarderai mieux l’étiquette. Franchement trop nul. « Mange pas à contre cœur » qu’on disait chez moi y a plusieurs année. Bah là j’ai un retour fulgurant de cette maxime.

Bon appétit à toutes et à tous.

Rester malgré tout en odeur de sainteté auprès de vous car aucune de vos propositions ne m’ont vraiment inspiré. J’espère jouir encore de vos estimes en répondant à chacun des sujets que vous m’avez proposez dans un grand pêle-mêle. Vous êtes près ? nous y  allons ? GO !

Comme tout animal qui se respecte, ou comme tout insecte, nous sommes piloté, guidé, attiré, repoussé par cette émanation volatile produite pas certains corps et perçue par l’organe de l’odorat. Mais comment , et où, pouvons nous trouver des témoignages olfactifs à travers les siècles ? Des œuvres qui décriraient les reconnaissances des différentes exhalaisons, fragrances, remugles, effluves, et autres miasmes par l’organe sensoriel adéquat. Des classifications, des études,   je n’en ai que vaguement entendu parler. Ma culture est défaillante semble t il mais ne demande qu’à être jardinée...

Politiquement parlant à présent, sur un sujet d’actualité (qui entre parenthèses me gonfle tout particulièrement, mais qui hélas est nécessaire). Je pense que la meilleure méthode pour sensibiliser l’opinion publique de ne pas mettre de côté des candidats à des élections, c’est de leur faire vivre, à ces gens non sensibilisés, quelques instants sous un régime dictatorial, l’expérience vaut mieux que de longs discours…

Autre thème que je ne métrise pas : « les transsexuelles ».

Est-ce une demande d’opinion, un point de vue ?

Je ne connais personne dans mon entourage proche qui éprouve ce sentiment de morphologie sexuelle normale d’appartenir au sexe opposé. Mais changer de sexe est impossible, mettre son MOI dans un autre corps n’est pas envisageable. Nous en serions à parler plus que d’une simple scarification pour appartenir à un groupe mais bien de mutilations, mutilations irréversibles. Ni un homme, ni une femme. Un fac-similé, un faux semblant. Un corps vide comme un décor de cinéma. Comment peut-on répondre à une souffrance d’avoir des attributs qu’on ne reconnaît pas, vivre avec un sexe dont on se sens  affublé doit être insupportable, mais delà à aller jusqu’à une amputation j’ai du mal à assimiler le concept … car je doit faire parti de ceux qui sont en phase avec ce qu’ils sont (corps et esprit). 

Le renforcement de la sécurité devient hélas une réponse légitime à la pathologie actuelle. Reste à savoir s’il est efficace dans les faits (je parle du renforcement). La question que l’on peut se poser est de savoir d’où vient ce besoin sécurité.

Ce qui est certain c’est lorsque l’on a commencé à s’équiper, on rentre dans un cercle inextricable, car la sécurité absolue n’existe pas. Tout a toujours une faille.

Je ne voudrai pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, mais crier « au loup » avant qu’il ne soit réellement là revient à se discréditer vis-à-vis des autres. Que ferais-je d’une peau d’ours ? Je serais certainement incapable d’en tuer un d’ailleurs. Alors vendre sa peau reviendrait à faire une escroquerie, loin de moi cette envie.

Par contre, quelques fois, j’aurais bien envie de vivre caché pour vivre heureux.

Triste à dire lorsque l’on pense à certains qui ne cherchent avant tout qu’à se faire leurs places. Se faire un nom n’est pas si simple que ça en fait.

En tous les cas, celui qui nous écrira une poésie du poireau pourra certainement s’en faire une belle place, peut-être dans l’encyclopédie universelle qui sait. Personnellement je n’en connais pas, et vous ?

Le prochain thème m’est très difficile à traiter, nous aurions évoqué la flemmardise à la rigueur j’aurais pu parler de quelque chose que je connais, mais le désœuvrement, ça je ne connais pas, Rester oisif ne pas savoir m’occuper ou ne pas vouloir m’occuper, je ne sais pas ce que c’est. Et faire semblant, n’est ce pas déjà faire un petit peu ?

De toutes les façons comme la société nous impose ses règles, il nous faut savoir choisir notre camp. C’est toujours un prêté pour un rendu… Riche-Pauvre, Dirigeant-Dirigé, Cultivé-Ignare, Chaud-Froid, Doux-Rêche, Noir-Blanc, Négatif-Positif … c’est de la physique, de la métaphysique qu’y pouvons-nous ? Ordonnances rythmiques du yin et du yang…

Le plein et le vide, le tout et le rien, A la vie à la mort… Après l’APOCALYPSE il n’y aura plus personne pour s’interroger sur le sens de la vie et certainement pas sur la dernière série télévisée de France2 du mercredi soir.

Peut-être que si nous sommes encore là après sa diffusion, ceux qui l’auront suivi pourront nous en donner leur sentiments par rapport à la question initialement posée.

Et voilà, j’espère ne pas avoir oublié de thème, que mes délires vous satisfont, en attendant et si nous ne nous revoyons pas d’ici la fin de 2006, je vous souhaite d’ores et déjà de bonnes fêtes de fin d’année. Happy End !!!!

Cela fait maintenant plus d’un mois que je n’ai pas satisfait à vos curiosités blogguestes. J’ai quelque peu perdu le goût de l’écriture, perdu la motivation, perdu aussi le temps de m’y consacrer sérieusement. Il est très pénible en fait ce constat. Car en tapotant ces 1ers mots je m’aperçois que c’est une chose que j’aime pourtant bien faire. Fainéant que je suis, le bonheur aux bouts des doigts. Et je souris niaiseusement en me relisant. Car en dehors des soucis matériels, tout va bien.

Voilà donc l’éternelle introduction en forme de justification pour mon manque d’assiduité. Et pour être complètement acide je me permets de rajouter que te toutes les façons vous n’êtes pas non plus très loquace dans vos commentaires ou dans vos propres blogs …. NA !!!! Car si j’aime écrire, j’aime aussi lire, discutailler en fait.

J’ai pensé un moment remettre en route les ludiblogs (ceux de mon ancien blog se souviendront). Mais c’est un peu de la facilité tout ça.

Un véritable article, c’est ça qu’il me faut faire.

Ca me donne une idée … humm… pourquoi pas …  

Voilà je vous propose de me lancer un défi. Suggérez-moi un sujet sous forme d’un mot, d’une phrase, d’une question, d’une image, ou tout autre… un thème que j’essaierai développer selon mes points de vue.

Je laisse jusqu’au 8 décembre la possibilité de faire vos propositions date à laquelle je pourrais faire le choix et avant la fin d’année pour vous donner l’article que ça m’aura inspiré.

A vos claviers donc…  

Bien à vous

Le frimas tombe, la glace doit être brisée.
La brume intensifiée, le brouillard épais, je cherche le soleil.
Les choses, le temps, les gens défilent à la fenêtre, créant l’image floue.
Impossible à figer, apprécier, contempler, car vite vite déjà passer à la suivante.
Impassible en ce moment, j’erre, je gère  d’évènements en évènements.
Bien réel, même le virtuel, à quoi tout cela rime ?
Nostalgie mélancolique façon check-up ? Non, constatation allègre de l’opulence événementielle qui me donne l’impression de passer à côté des choses, du temps, des gens… Et bien cher lecteur, moi je vous le dit, « vivement les vacances ».
L’hiver arrive, le changement d’heure aussi, n’oubliez pas montres, horloges et autres pendules. Voilà un phénomène climatique bien étrange pour un automne perturbé et perturbant, il fait doux et moi je vous parle de frimas alors que les saintes glaces sont en mai.
C’est clair il n’y a plus de saison.

Les choses, le temps, les gens … une véritable cabale !!!. Tout ceci pour dire que je passe une journée dantesque. Me rappellant le bon vieux temps ou lorsque j’étais néophyte j’avais l’impression de me trouver face à des montagnes.

Remarquez, c’est souvent comme ça lorsque les évènements se dérèglent, ils le font à l’unissons, sinon ça ne serait pas drôle.

Aujourd’hui tout semble vouloir se planter avant que j’arrive, les choses, le temps, les gens …

Ce qui m’intrigue c’est ma réaction fasse à cette coalition… j’en reste zen… et ce n’est pas dans mes habitudes. Je me trouve d’une nonchalance déconcertante.

Tout me semble si distant, les choses, le temps les gens …  

Mais je me prépare pourtant au retour de manivelles.

Et oui, comme toujours un yin pour un yang.

En tous les cas la journée a passé sans que je m’en aperçoive.

Drôle de lundi.

Je n’en suis pas si surpris que cela, j’avais comme un truc depuis hier soir qui me titillait, appelons ça un pressentiment si vous voulez.

Demain sera un autre jour …

Bien hâte de rentrer pour que s’achève cette avalanche de pépins.

Nouvel appel téléphonique … le festival continu

A plus tard chers lecteurs…

Comme me l’a suggéré Brazen hier dans son commentaire j’ai écouté ce matin l’horoscope à la radio.

Pour les natifs de mon signe, une reconnaissance des compétences va nous pousser à nous surpasser…

Voilà c’est bref, maintenant il reste à voir si nous allons faire des étincelles aujourd’hui. Et ça, ça fera certainement l’objet d’un nouvel article, ou d’un commentaire tout du moins.

Et pour remercier Brazen de cette idée, je lui résume aussi les prévisions pour son signe : Profiter des derniers rayons de soleil pour s’aérer et faire de plein d’oxygène…

Bonne journée à toutes et à tous.

Fuyez fuyez de toutes les façons vous n’aurez rien à lire de plus à cette heure.

Vous savez, c’est une matinée pénible, comme celles que l’on subit en pensant qu’on aurait mieux fait de rester couché…

Pourtant au réveil tout allait bien. Mais arrivé sur le lieu de travail j’aurais du me douter de quelque chose, mes capteurs ne m’ont pas alerté assez fort… et là tout va de mal en pis… Vivement ce soir !

On m’a montré il y a peu de temps une image. Je la garde en tête depuis.

(Vous savez comme je suis curieux et avide de nouveautés, d’images et de sons …)

Cette image s’est incrustée dans ma mémoire et a réveillé ma réflexion.

Une envie de chercher du côté du thème « Photographie et Mouvements ».

C’est un drôle de paradoxe, mais pas si étrange que ça.

Je vous dresse le tableau (si j’ose m’exprimer de la sorte). Mais avant de vous décrire ce que j’ai vu (la photo), j’aimerai appuyer deux faits qui sont à l’origine de ce qui m’a troublé : Un double immobilisme.

Oui l’immobilisme de la photo et l’immobilisme du sujet de cette photo.

Par définition la photographie c’est la fixation sur un support visuel d’un instant, « clic-clac ».

Et le sujet, (je vais enfin vous dire ce que c’est), un buste qui par sa nature de statue est immobilement immuable. Pour préciser c’est la représentation d’un jeune soldat de la « Grande Guerre ».

Plus de détail encore je vais fournir maintenant…

La photographie à été prise avec un flash dans un endroit très sombre, il parait que c’est une cave. Le « personnage » immobile est pris en gros plan, visage plein cadre. Les couleurs sont à dominance d’ocre et de sépia, il y a beaucoup de poussière. Seul la casquette posée sur le crane peut nous indiquer qu’il s’agit d’un soldat. Il faut dire qu’au début j’avais pensé à un petit facteur. Il a les yeux bleus, et c’est bien la seul couleur qui ressort de toute l’image. Le plus troublant dans ce que je regarde à cet instant ce sont ces yeux, non je dois dire SES yeux. Son regard est intense, son regard est tellement vivant… Je crois bien que c’est un des rares objets inanimés que j’ai vu et qui ai autant de vie. Même l’image gravée sur cette photo ne semble pas être figée, alors comment peut on imaginer un face à face avec l’objet en réalité ?

Je n’ai pas l’image à vous monter ici pour illustrer mon article, et j’en suis désolé.
Par contre, je vous en présente d’autres. Elles découlent des recherches que j’ai effectuées sur internet depuis ma rencontre avec ce soldat. En effet depuis j’ai eu envie de creuser un peu du côté du thème sur le « mouvement ».
Et j’ai trouvé quelques perles dont je vous fais profiter ici. L’article quant a lui viendra peut-être un jour, Mais plus tard plus tard.

Je suis tombé sur des sites qui décrivent des mouvements de chutes, de chorégraphies, de gymnastique, de plongeons… Des choses en mouvement, des voitures, des mécanismes de montres, des robots … mais aussi des végétaux des animaux, et bien évidement des êtres humains. J’ai aussi trouvé des machines utopiques aux mouvements perpétuels … Magnifique. Immuablement en mouvement.

J’adore ces paradoxes. Les objets immobiles qui semblent se mouvoir, et ceux qui bougent et semblent figés à l’infini.

J’aime à cherche d’où est l’initial départ de tout ceci ?

Bonnes journées à toutes et à tous   

PS : Merci à Etienne-Jules MAREY, Georges DEMENY, Eadweard MUYBRIDGE, ... les 1ers chronophotographes

Je reprends mon calame en ce jour, pour vous permettre de papillonner un peu d’article en article. Mais je n’ai que peu de nouvelles croustillantes à fournir à vos « pupilles gustatives » en cette assez morne saison s’il en est.

Au moins, d’avoir le mérite de satisfaire ou plutôt de récompenser votre assiduité à venir butiner ici ces quelques réflexions sans queues ni têtes.

Quelle anecdote pourrais-je bien vous narrer ici ?

Ah oui… Rapidement…

…J’ai fait un rêve… le songe d’une nuit d’automne… mais loin d’être un scénario morbide ou cauchemardesque. J’étais dans une automobile en direction de mon chez moi, je pense qu’il s’agissait du matin.

J’étais accompagné. Ma famille proche j’en suis certain.

Autre certitude : un sentiment de profonde contrariété, d’un profond agacement…

Donc tout irrité dans cette voiture à pester contre… euh… je ne sais même plus contre quoi et/ou contre qui … sans importance… et soudain en regardant par la vitre gauche de la portière j’aperçois le soleil. Il joue à cache-cache avec les cumulus, cumulo-nimbus ou autres stratus (je n’y connais rien en météo).

Le Soleil, oui oui l’astre celui qui produit la lumière du jour. Et bien dans mon rêve le soleil semblait se dégonfler comme un dirigeable percé, comme dans les cartoons que nous connaissons tous, au ralenti, en zigzagues faisant les « pfeuuuu » & « Brrrrrr ». Pareil à une baudruche qu’on relâche après l’avoir gonflé sans avoir fait le nœud « Pschiiiitttttt ».

Et puis la sonnerie du réveille à retenti « Drinnng » (ma sonnerie ne fait pas driinng, mais je ne peux pas vous la décrire ici, il faut aussi laisser place à votre imagination).

Je me suis réveillé donc et je suis resté avec tout plein de questions à la con. Des questions stupides, puériles, du genre : et …

…Combien de temps pourrions nous survivre avec une telle catastrophe ?

… En combien de temps le froid s’installerait il après une telle calamité ?

…Autour que quoi la terre pourrait-elle alors tourner ?

… Y auraient-ils des collisions avec les autres planètes du système ?

… une explosion générale ?

… La Mort instantanée ?

… des Survies possibles ? …

Quel rêve idiot, Quelles pensées futiles, quoique, peut-être quelque chose à retenir… je suis définitivement un grand malade, oui ça nous le savions déjà, mais il y a quand même peut-être une leçon lire entre les lignes.

Le plus intéressant de ce scénario catastrophe, n’était-ce pas de prendre conscience que la vie est plus élémentaire que de toutes les frustrations, colères, ou contrariétés que nous pouvons rencontrer.
Tous ces moments ou nous sommes irrités, peuvent en un instant être, et … et hop … ne plus être l’instant d’après pour une petite histoire de soleil qui se joue les filles de l’air.

Futilité de l’existence. Vivons heureux pendant que nous vivons.

Franchement, n’ai-je rien d’autre à dire ou à faire ? Hein !!?

Et vous ? Vous en pensez quoi ?